À la faveur de cette absence il reconquit tout son royaume (67) ; mais deux ans après Pompée le vainquit près de l’Euphrate, dans un combat nocturne. Églon, leur roi, tint 18 ans les Hébreux en captivité (1332-1314 av. J.-C.); il périt de la main d'Aod. MITIDJA, vaste plaine de l’Algérie, qui s’étend surtout au S. d’Alger, entre les deux zones montagneuses de l’Atlas et du Sahel, est célèbre par sa fertilité, qui l’a fait surnommer par les Arabes la Mère du pauvre. MNÉMOSYNE, déesse de la mémoire, était fille du Ciel; elle fut aimée de Jupiter qui la rendit mère des neuf Muses. Une de ses flottes fut détruite dans deux combats près de Ténédos et de Lemnos. 126 à 88), repoussa les Scythes, soutint en Syrie Philippe, fils d’Antiochus Grypus, contre Démétrius, son frère, vainquit plusieurs fois les Arméniens, mais fut tué dans une dernière bataille contre eux. Nous avons perdu Christian et Catherie qui sont partie devant, avec Jean Pierre nous avançons au rytme des viser laser, la topo de dessine en direct sur le Pal, j'en profite quelques fois pour lui montrez la direction surprenante que prend le trou par rapport au sensation de déplacement que nous avons en nous déplassant
On fait avec l’avoine mondée, séchée au four, & réduite en une farine grossiere, qu’on appelle Gruau, des boüillons, des crémes, & des breuvages fort usitez aussi en Carême ; on les prépare comme les orges mondez, & ces préparations pourroient tout de même suppléer dans bien des rencontres, aux boüillons & aux gelées de viande, d’autant plus que l’avoine nourrit encore plus que l’orge, à cause que les parties sulfureuses qu’elle contient sont plus débarassées. Le pain d’orge est pesant sur l’estomac ; ce qui vient de ce que l’orge renferme dans sa substance un acide assez fort, avec des parties sulfureuses & terrestres, assez grossieres. Les parties acides, sur tout, se font connoître par les aigreurs que l’on ressent dans l’estomac, lorsqu’on a mangé trop de pain, & par l’aigreur que la pâte contracte, quand on la garde quelque tems ; c’est cet aigre dominant qui fait que la repletion de pain est si dangereuse, omnis repletio mala, panis pessima, dit Riviere. Georges a péri misérablement avec une foule de nos soldats, dans un hôpital incendié, lors de la retraite de Moscou ; il avait été blessé grièvement à Smolensk. Je ne crois pas que nos savants anglais soient convaincus qu’elle soit possible, même aujourd’hui
Je reçus de la graine de cette plante qu’on appelle Pappas des Espagnols ou d’autres fois des Indes : semée dans nos jardins, elle crût au point de former une sorte d’arbrisseau ramifié ; il en fut de même dans le jardin du Dr Martin Chmielecius, chez qui elle produisit une fleur blanche. M. de Ladebat en Guienne, M. de Puymaurin fils en Languedoc, M. Chancey dans le Lyonnais, M. de Hell en Alſace, & tant d’autres ſavans agronomes avec leſquels j’ai l’honneur de correſpondre, deviendront ſans doute, par leur eſſais en ce genre, les bienfaiteurs des provinces qu’ils habitent, comme l’ont déja été dans leurs cantons MM. Dumeny-Coſte, le Chevalier Muſtel, le Marquis de Turgot, Saint-Jean de Crevecœur, Engel, Vanberchen, &c. Il mourut archevêque de Besançon en 1544. - Auguste de La Baume, marquis de Montrevel, maréchal de France en 1703, fut envoyé contre les Camisards, qu’il battit en plusieurs occasions, mais sans pouvoir les réduire
Le ris est un peu astringent ; c’est pourquoi ceux qui ont le ventre trop resserré, n’en doivent guéres user. On peut mêler du lait dans l’orge mondé, & il n’en devient que plus agréable ; mais il faut remarquer qu’il ne convient pas alors dans la fiévre. Quand on veut rendre l’orge mondé plus agréable, on y met quelques amandes, avec un peu de sucre ; & si on veut qu’il rafraîchisse, on y mêle des graines de melon & de citroüille. Le vulgaire, cependant croit qu’il n’y a qu’à manger du ris pour engraisser, sur tout s’il est préparé avec le lait & le sucre. Les Orientaux font du pain de ris ; mais comme ce pain est assez désagréable par lui-même, ils y mêlent du ségle & du millet, pour le rendre meilleur. Le pain de froment est le meilleur de tous ; parce que les principes de ce grain sont plus déliez, moins terrestres, & par consequent plus faciles à digerer ; mais il faut que le froment soit d’une bonne terre, qu’il soit pesant, difficile à rompre, bien mondé, & recent, sans être trop nouveau. On le fait quelquefois épaissir, en le laissant davantage sur le feu, & alors il nourrit beaucoup plus