Pas moins de 50 tonnes de truffes sont transformées chaque année dans leurs ateliers juste à l’extérieur du village, provenant bien entendu des truffières du Vaucluse, mais pas seulement. Ici vous pourrez assister à une démonstration de cavage avec nos chiens, avoir des explications complètes sur la truffe et son environnement, déguster nos produits à la truffe et profiter d’un déjeuner « Tout à la Truffe » cuisiné par nos soins, avoir des conseils culinaires et découvrir nos ateliers « Accords Truffes et Vins ». La Tuber Brumale supporte bien la cuisson et est idéale pour préparer une sauce à la Truffe pour des pâtes, pommes de terre ou un risotto, ou encore une farce pour une volaille. Comment cuisiner la truffe brumale ? Comment savoir si une truffe est comestible ? Mieux communiquer sur les nuances aromatiques des truffes, la faire goûter, l'aider à retrouver sa place dans la cour des grands, voilà une vaste et passionnante tâche. Le voilà à Ruel, où la Reine l’alla voir
Il passe deux fois très attentivement l’ongle sur le fil afin de s’assurer qu’il n’est point ébréché, car il est dit au Lévitique : « Vous ne mangerez d’aucun sang, » et les juifs croient que, si la lame avait une entaille, si petite qu’elle fût, l’animal pourrait s’effrayer, qu’alors le sang se coagulerait dans le cœur, d’où il ne pourrait s’écouler. Il est un fait à noter, c’est que ces hommes qui vivent dans le sang, dont le métier est de tuer, ont horreur de voir souffrir les animaux, et qu’ils procèdent toujours de façon à les anéantir du premier coup. C’est le joyau par excellence de la gastronomie, son goût est plus fin et plus subtil que la truffe d’Alba (truffe blanche). Ces deux mots, qui sont de l’hébreu chaldaïque, ont subi, comme on peut l’imaginer, quelque transformation en passant par la bouche des garçons bouchers; on les a francisés, et à l’abattoir on les prononce invariablement coche et trèfle
Pour encourager les bouchers de province à profiter des chemins de fer et à envoyer de la viande à Paris, on a ouvert, par ordonnance de police du 3 mai et du 24 août 1849, une vente à la criée pour les viandes directement expédiées par les départemens. Cette halle étant devenue manifestement insuffisante, Napoléon prescrivit, par décret impérial du 20 mars 1808, la création d’un entrepôt général des liquides, destiné à recevoir les vins, alcools, huiles et vinaigres expédiés à Paris par la province. Dans le projet primitif, l’établissement, s’ouvrant quai Saint-Bernard, devait s’étendre sur l’emplacement compris entre la rue de Seine (aujourd’hui Cuvier) et la place Maubert, et devait être traversé par un canal qui aurait permis d’apporter sans transbordement les marchandises au centre même de l’entrepôt. Ils ne peuvent pas être utilisés à des fins commerciales. De plus la bête, aussitôt qu’elle est morte, doit être ouverte et examinée avec minutie, car, si elle est impure, elle ne peut être livrée au peuple de Dieu. Le geste deviendrait de plus en plus difficile. Leur territoire comprenait la plus grande partie des dép. C’est ainsi qu’on parvint aux grillades, préparation aussi simple que savoureuse, car toute viande grillée est de haut goût, parce qu’elle se fume en partie
C’est durant l’automne, juste avant son cavage, que la truffe prendra sa couleur définitive et son arôme si subtil. À mon âge, c’est mortel. Je persiste à rentrer en France, mais je vais chez mon père au lieu de retourner à Paris. Au départ de Paris pour Roanne, sur la Loire, le propriétaire du canal de Briare avait le privilège exclusif de la conduite hebdomadaire des voyageurs ; de Roanne à Orléans, la navigation était libre ; les cabanes, petites maisons flottantes qui descendaient le fleuve, étaient accueillies sur le port par un tas de faquins qui se jetaient à trente sur deux ou trois petits paquets ; « huit d’entre eux, dit le Roman Comique, saisissent une petite cassette qui ne pesait pas vingt livres. Ces contraventions ne sont pas moins fréquentes pour les marchandises : le courrier de Lyon avait apporté, de cette ville jusqu’à Charenton, six paniers de truffes, deux bannettes d’artichauts de Gênes et un baril d’huile. Le fermier général des messageries de Lyon fait saisir ces denrées et condamner le courrier à 300 francs de dommages-intérêts. A la veille de la Révolution, la diligence était devenue quotidienne pour Lyon ; Bordeaux avait le samedi une berline à 8 places, taxées 270 francs chaque, nourriture comprise, et 187 francs sans nourriture