Les truffes sont généralement trouvées par des chiens ou des cochons spécialement entraînés pour détecter leurs odeurs. Zoom sur les 5 races de chien les plus douées pour détecter les truffes ! Il n’est presque pas utile de dire que l’époque des opérations qui suivent l’ensemencement varie suivant le temps qu’il fait, le développement des mauvaises plantes et les autres travaux plus ou moins urgens de l’exploitation. On sème les navets depuis mai jusqu’à la fin de juin ; mais le commencement de juin est l’époque en général la plus favorable. Ces opérations se pratiquent depuis le commencement de mai jusqu’à la fin de juin, selon que la saison est plus ou moins hâtive et que les pluies ont permis de préparer la terre plus tôt ou plus tard, et suivant la variété des navets qu’on veut cultiver. Dans le cas où on ne pratique pas cette opération, il est fréquemment utile d’y substituer le roulage. Là-dessus, comme si cette communication eût mérité une récompense, le Pierre se leva, prit un des grands pichets de faïence qui étaient sur la table, et emplit le gobelet du maître, puis ceux de tous les parsonniers et autres, d’une bonne piquette rose pétillante.
C’est un retour, par la graine, à une forme ancestrale qui s’était trouvée modifiée, pour la précocité, dans l’Early rose. Sur le rebord de la fenêtre d’où l’infortunée Rose de Montal se précipita pour mourir, on peut lire encore les mots : « Plus d’espoir », les derniers qu’elle prononça, et qui furent gravés là en mémoire de sa triste fin. Cette culture, telle qu’elle est pratiquée, par exemple dans la plaine des Vertus, près Paris, se borne communément à un labour qui enterre le chaume de la récolte précédente, et qu’on fait suivre d’un deuxième si la terre est trop sèche. Dans les terres légères, naturellement assez faciles à être ameublies, cette opération deux et même une seule fois pratiquée suffit, avec le labour d’automne ; mais, dans les terres fortes, compactes, argileuses, cette opération pratiquée une seconde fois ne suffit quelquefois pas encore, et il est bon, si la terre n’est pas bien ameublie, de la répéter une troisième fois. Préparation du sol. - En automne, immédiatement après la récolte qui vient d’être enlevée, on donne un labour profond, quelquefois on en donne un second, surtout dans les terres fortes ; ensuite on laisse le champ dans cet état jusqu’au printemps prochain.
Le champ ressemble alors à un tapis où l’on ne rencontre que difficilement une motte de terre plus grosse qu’une pomme. Quand la terre est prête pour le fumage, on peut, au lieu d’ouvrir les sillons avec la charrue ordinaire, par deux traits de charrue, employer une charrue à deux oreilles, qui, par conséquent, déverse la terre également de chaque côté et forme le sillon d’un seul coup ; on se sert avec le même avantage de cette charrue, pour recouvrir le fumier placé dans les sillons, et on abrège ainsi de moitié cette partie de l’opération ; cette méthode me semble préférable dans les terrains légers. Cette espèce de prodigalité est utile pour parer aux effets des années défavorables à la végétation, à la mauvaise qualité de la graine, qui ne lève qu’en partie ; enfin des insectes qui attaquent les jeunes plants et qui les détruisent. Ces opérations ne sont pas toutes indispensables : assez souvent on ne pratique pas les dernières ; mais elles servent beaucoup à la réussite de la récolte, augmentent la quantité des produits, et par l’ameublissement continuel qu’elles donnent à la terre, la tiennent prête aux récoltes de céréales qu’on veut obtenir après les navets.
Lorsque les navets, au contraire, ne sont qu’une culture dérobée à la suite d’un blé ou d’une autre récolte, cette culture est très-simple et n’exige presque aucun soin. Cette époque est donc variable selon celle de l’ensemencement, et selon que le temps est plus ou moins favorable à la végétation. Quand une partie assez considérable du champ est labourée, le cultivateur divise les attelages, et pendant que la moitié continue à labourer, l’autre moitié commence à herser et à rouler. Dans cette opération, le champ reste labouré à plat et très-uni. En Allemagne, dans les parties où la température de l’automne le permet, on cultive aussi plus volontiers les navets sur les chaumes ; cette culture est même générale dans les contrées occidentales de ce pays. Lorsqu’on attache aux navets, comme culture de jachères, l’importance que les Anglais lui accordent, et qu’elle doit avoir pour but principal : d’ameublir et de nettoyer le sol, elle est assez compliquée, difficile et dispendieuse ; c’est en Angleterre qu’elle a été portée à son plus haut degré de perfection, telle que nous la décrirons tout-à-l’heure. Le but de cette opération est de débarrasser la terre des plantes étrangères qui sont levées en même temps que les navets, et aussi d’ouvrir la terre, sans la retourner, pour la rendre perméable aux influences atmosphériques, surtout à l’humidité de la nuit.