Son pantalon toujours usé ressemblait à du voile, étoffe avec laquelle se font les robes d’avocat ; et son maintien habituel finissait par y dessiner une si grande quantité de plis, qu’il s’y trouvait par places des lignes blanchâtres, rouges ou luisantes qui dénonçaient une avarice sordide ou la pauvreté la plus insoucieuse. Le catholicisme est une crétinisation de l’individu : l’éducation par les Jésuites ou les frères de l’école chrétienne arrête et comprime toute vertu summative, tandis que le protestantisme la développe. Le diagnostic passe par la réalisation de clichés radiologiques, de prise de sang, et surtout sur l’examen microscopique du pus et la culture fongique de ce dernier. Une truffe dépigmentée est chose normale chez un chien à robe claire, surtout ceux qui ont un pelage avec beaucoup de blanc et des yeux bleu pâle, comme le dalmatien, le bull terrier ou le colley. Enfin, mon cher, ta marquise est une femme à la mode, et j’ai précisément ces sortes de femmes en horreur
Un nouvel arrêt du 23 mars 1716 ordonna de livrer sur place le onzième du produit. » Lunéville, le 4 Mars 1719 ». Aucuns ne prennent la peine de provigner ceste plante, ains la laissent croistre et fructifier à volonté, cueillans le fruict en sa saison : mais le fruict ne se prépare si bien à l’aer, que dans terre, en cela se conformant aux vraies truffes, auxquelles les cartoufles ressemblent en figure ; non si bien en couleur, qu’elles ont plus claire que les truffes : l’escorce non rabouteuse, ains lice et desliée. Il n’est pas sans intérêt de relater ici ce que Chabrée dit, dans son ouvrage : « qu’on voit aujourd’hui (1666) le Papas americanum, c’est-à-dire la Pomme de terre, dans les Jardins de l’Europe. Les Frères Bauhin nous ont fait connaître à leur tour qu’ils la possédaient en Suisse, et que de là elle avait été importée dans la Bourgogne, qui est devenue successivement la Franche-Comté, c’est-à-dire une partie de la France actuelle. Il faut observer qu’Olivier de Serres dit que cette espèce de truffes, qu’il appelle Cartoufles, était venue de Suisse, et qu’encore aujourd’hui, en Suisse, on donne à la Pomme de terre le nom de Tarteuffel, qui approche beaucoup celui de Cartoufle »
» Voici une plante dont aucun auteur n’a parlé, et vraisemblablement c’est par mépris pour elle qu’on l’a exclue des plantes potagères ; car elle est trop anciennement connue et trop répandue, pour qu’elle ait pu échapper à leur connoissance ; cependant il y a de l’injustice à omettre un fruit qui sert de nourriture à une grande partie des hommes de toutes nations. On réussit beaucoup mieux en plantant les tubercules, car avec eux la plante est chaque année si féconde qu’on en recueille souvent cinquante autour d’une racine. Mais la connaissance la plus certaine que nous puissions avoir de la culture des Pommes de terre dans la Toscane, est due au Père Magazzini de Vallombrosa, lequel dans son livre Dell’ Agricoltura toscana, imprimé en 1623, après sa mort, attribue l’introduction des Pommes de terre en Toscane par l’Espagne et le Portugal aux Carmes déchaussés, et parle de la manière de les cultiver, de façon à faire supposer que, depuis un certain temps, elles étaient plantées et cultivées à Vallombrosa. La culture de la Pomme de terre préconisée par ce célèbre Botaniste, placé alors à la tête du Jardin impérial de Vienne, continuée par les horticulteurs de Belgique, transmise à François Van Sterrebeck au XVIIe siècle, à Verhulst de Bruges au XVIIIe, ne se perdit plus dans nos provinces, et, quand Parmentier avait trois ans, nos populations trouvaient déjà sur les marchés publics des villes les Pommes de terre en abondance