Ombres déplacées et floues d’une hure de sanglier, d’un corps de belette patte droite postérieure maintenue par ses griffes à la branche factice, les trois autres levées, léonines. Les hygiénistes du corps et de l’esprit, dans une vague officielle de barbiches, binocles, chapeaux de Panama, gilets de flanelle, bas-varices, ceintures herniaires, suspensoirs flapis, plastrons, faux cols, manchettes de celluloïd et autres accessoires du cotillon humanitaire, déferleront sur l’Asie, l’Afrique et l’Océanie. Toujours la même latte grinçant dans le parquet sans apprêt (probablement recouvert de tapis à l’époque). Indécente ; car il est de principe généralement reconnu que toute ablution doit se cacher dans le secret de la toilette. Le CO2 est utilisé par l'anabolisme des végétaux pour produire de la biomasse à travers la photosynthèse, processus qui consiste à réduire le dioxyde de carbone par l'eau, grâce à l'énergie lumineuse reçue du soleil et captée par la chlorophylle, en libérant de l'oxygène pour produire des oses, et en premier lieu du glucose par le cycle de Calvin. Les marches les plus hautes sont baignées de lumière, le pan de mur qu’on aperçoit au premier étage rayonne presque : il y a un trou dans la toiture
Et toujours une porte, blanche, des traces presque invisibles, là où était collée autour de la serrure une garniture rouge, plastique strié, comme une empreinte, une trace de main qui se serait posée là par mégarde. Ils ont laissé le tapis qui épouse la forme des marches vers le pallier et là, les quatre portes autour du ciel qui fraye par la fenêtre qu’ils ont fait ouvrir dans le toit. Très haut, une longue fenêtre étroite à petits carreaux envoie une lumière tamisée par le lierre qui envahit la façade extérieure. À propos des évacués : leur déception vient de ce qu’ils s’imaginaient être apothéosés en France et y vivre une vie magnifique. Signes de vie. La rue au nom d’explorateur, ou de chimiste. L’appartement en rez-de-chaussée. Les passants dans la rue - les regards qui passent, les vitres. D’office, la cuisine, vue d’ensemble, l’appartement. Vue d’ensemble. L’exposition plein sud. Les chambres du Les Demoiselles de Ladoix sont élégamment décorées et offrent une vue sur les jardins. Au milieu de l’étable, incongrue une charrette à chien en bois un montant cassé et deux bidons en attente. Bois léger de la porte vers la pièce entourée de fenêtres donnant sur une nature pâle et sur les dunes
Deux fenêtres aussi, espagnolettes et tablettes, airs de vieille demeure à bon compte, décor suspendu à des cintres invisible qui permettent de l’escamoter, bois qui s’écaille dehors comme dedans, seule immixtion d’un extérieur soigneusement contenu. Et sur les étagères de bois vermoulu des pots, des bidons, des bouteilles en verre épais, des ficelles, des entonnoirs, des moules à beurre, des tamis, des tapettes à rats, des mousselines toutes mitées, des piles de toiles écrues et au sol des tabourets, un amoncellement de bidons de toute taille, des couvercles renversés et au plafond traversé de poutres sombres pendent d’autres ustensiles des gros ciseaux, des louches, des spatules, des fouets, des garde-manger déglingués, des rondelles, des ficelles, des tabliers de drap bleu. Une table aux dimensions très honorables, faite d’un bois qui a dû être luxueux, s’est transformée, comme le reste, en pauvre chose oubliée. De l’autre côté de la mangeoire, un passage étroit pour venir distribuer le foin, des fourches encore et une longue niche creusée dans le mur remplie d’ustensiles rouillés dont l’utilité s’est perdue. LEBLOND (J. Christophe), peintre en miniature, né à Francfort en 1670, m. en 1741, inventa l’art d’imiter la peinture par la gravure, en imprimant l’une sur l’autre trois couleurs, le rouge, le jaune et le bleu, qui, par leurs combinaisons, produisaient des nuances plus nombreuses