Cette disposition est celle d’un papillon plongeant en vue dorsale. Je reviens de la Halle par la rue Montmartre : les planches de marbre blanc de la maison Lambert, à cette époque si chargées de quartiers de chevreuil, de faisans, de gibier, sont nues, les bassins aux poissons sont vides, et dans ce petit temple de la gueule, se promène mélancoliquement un homme très maigre ; en revanche, à quelques pas de là, dans l’éclat du gaz, faisant étinceler un mur de boîtes de fer-blanc, une grosse fille joviale débite du Liebig. Fondée par des Maures chassés d'Espagne, cette ville fut prise en 1505 par les Espagnols, qui y firent de magnifiques travaux de défense et d'embellissement, ce qui lui avait valu le surnom de Corte-chica, petite cour. LAMARQUE (Maximilien), général français, né à St-Sever (Landes) en 1770, m. en 1832, se signala dans les guerres de la Révolution et fut nommé général de brigade après la bataille de Hohenlinden (1801). En Italie, il prit Gaëte (1806), et le fort Caprée, que l'on regardait comme inexpugnable (1808). Il se signala encore à Laybach, à Wagram, en Russie; en Espagne, et dans la campagne de France pendant l'invasion (1814). Député du dép
Le surlendemain, il avait obtenu son renvoi en France, et faisait tous ses préparatifs pour partir avec une dame à laquelle Murat donnait une forte escorte. Au fond, sur les bancs, c'est le bas office, les servantes, les métayers avec leurs familles; et enfin, là-bas, tout contre la porte qu'ils entr'ouvrent et referment discrètement, messieurs les marmitons qui viennent entre deux sauces prendre un petit air de messe et apporter une odeur de réveillon dans l'église toute en fête et tiède de tant de cierges allumés. Une paire de boucles d’oreilles en diamans, des b agues l’impossible ; montée en robes, en linge ; que son mari ne la contrariait jamais, qu’elle ordonnait tout dans la maison ; même que son fils qui est gentil tout plein est très-fort et très-grand pour son âge ; avec tout ça fallait qu’elle fût pomonique. Meerman ; des notices sur Papinien, Servius Sulpicius, Alfenus Varus, et de savantes dissertations sur plusieurs points d'antiquités, entre autres De ædilibus coloniarum, 1713; De tutela viarum publicarum, 1731. Tous ses ouvrages prouvent une science aussi solide que variée
OUAHOU, en anglais Woahou, une des îles Sandwich (Polynésie), au N. O. de celle d'Havaï : 60 000 hab. Les Anglais donnent à Otway la 1re place après Shakspeare. OTWAY (Thomas), poète anglais, né en l651, dans le Sussex, mort en 1685, fut d'abord acteur ; n'ayant pas de succès, il quitta la scène et se mit à composer des pièces de théâtre. Sortir marcher regarder par la fenêtre le jardin les odeurs courir dans l’allée. Comme cette cabane était bien tenue, blanchie à la chaux et meublée par le propriétaire de Ravensnest, elle était toujours en bon état. Ses comédies sont oubliées, mais il réussit assez bien dans la tragédie. Les élections cantonales de 1976 avaient déjà été remportées par la gauche, qui était ainsi pour la première fois majoritaire dans le pays, bien que la droite conserve la plupart des départements. Malgré ses succès, il vécut dans la misère
Un autre C. Oppius, lieutenant et ami de César, est regardé comme le véritable auteur de la Guerre d'Afrique, qu'on attribue vulgairement à César même et qu'on trouve à la suite des Commentaires de ce général. Il nous charme, il nous domine, il nous attire, mais tout à coup le voilà qui devient impérieux et sévère au point de nous atterrer, de nous confondre et de nous faire trembler ; il est trop saint ! Parfois on prenait pour la réponse de l'oracle le premier mot que l'on entendait au sortir du temple, ou bien on interprétait comme révélation des dieux un coup de tonnerre, un éclair ou même le moindre bruit, le mouvement fortuit d'un être ou d'un objet appartenant à l'oracle. Il fallait laisser la charrue pour faire le coup de feu. OPSOPOEUS (Vincent), philologue, né en Franconie au XVe s., mort en 1540, tint une école à Anspach pour l'enseignement des langues anciennes. Jean Opsopœus, médecin, né en 1556 dans le Palatinat, mort à Heidelberg en V596, a donné des éditions de divers traités d'Hippocrate et des Oracles sibyllins, et des notes sur Sénèque, Frontin, Macrobe, etc