OTHON ou OTTON I, le Grand, emp. OTHON II, le Roux, le Sanguinaire, fils et successeur d’Othon I, né en 955, proclamé roi de Germanie dès 962, emp. Dès 1212, il avait eu à combattre un nouveau compétiteur, Frédéric II, suscité contre lui par le pape Innocent III. Ainsi la mise à sec des continens actuels, c’est-à-dire de nos continens, a été successive ; qu’elle ait eu lieu lentement ou par saccades, n’importe : cet événement ou plutôt cette suite d’événemens ne peut servir à fixer la limite entre deux époques. Cet appartement comprend 2 chambres, une cuisine équipée d'un réfrigérateur et d'un four, ainsi qu'une salle de bains pourvue d'une baignoire ou d'une douche. Pourtant, elle n’était pas robuste au point de se débarrasser sans coup férir de cet athlète de couleur foncée et de volume abusif. Ce n’était pas le désert d’émeraude, pourtant il savait qu’il s’y trouvait encore et au fur et à mesure de sa progression vers nulle part il comprit que cela n’avait rien de réel
OTHON, M. Salvius Otho, empereur romain, né l'an 32 de J.-C., avait été un des favoris et des compagnons de débauche de Néron, et était le deuxième mari de la célèbre Poppée. Othon fut un des premiers à se déclarer pour Galba, et quelque temps il espéra être adopté par ce vieillard : voyant Pison préféré, il se fit proclamer empereur en Espagne, et en même temps excita parmi les prétoriens de Rome une révolte dans laquelle Galba et Pison furent massacrés (janv. OTHON DE NORDHEIM, prince saxon, fut créé duc de Bavière en 1056 par l’impératrice régente Agnès, mère de l’empereur Henri IV, conspira néanmoins contre sa bienfaitrice, et s’empara du pouvoir impérial (1062). Henri IV, devenu majeur, le dépouilla de son duché, mais le jeune empereur se réconcilia bientôt avec lui (1075), et le fit son lieutenant général dans la Saxe. OTHON IV, de Brunswick, emp., né en 1175, était le 3e fils de Henri le Lion, duc de Bavière, et de Mathilde. OTHON DE BRUNSWICK. Pour les princes de ce nom autres que l’empereur Othon IV, V. BRUNSWICK. Un autre Othon de W. se fit un nom fâcheux en assassinant, en 1208, Philippe de Souabe, qui disputait l’empire à Othon de Brunswick
Il ne reste plus qu’à disposer la grande bande de biscuit pour fermer la bûche. Imbiber légèrement la grande bande de biscuit posée sur une feuille de papier sulfurisé et étalez une fine couche de praliné feuilleté dessus. Plongez chaque boulette dans le chocolat blanc, et déposez-les au fur et à mesure sur une feuille de silicone ou de papier cuisson. Versez sur une plaque recouverte de papier sulfurisé ou mieux, un flexipat, tapoter un peu sur le dessous de la plaque pour chasser les bulles d’air et homogénéiser la surface. L’Elite de notre championnat est maintenant réduite à quatre clubs : Clermont (parce qu’eux seuls peuvent espérer rivaliser de temps en temps avec le plus grand club européen), l’USAP (parce qu’il faut bien faire un peu de place aux bouseux), le Stade Toulousain et les Espoirs du Stade Toulousain. Purement zoologiste d'abord, E. Geoffroy travailla quelque temps de concert avec Cuvier ; mais à partir de 1807, il s’en sépara et se livra presque entièrement à des spéculations sur la philosophie de l’hist. GEOFFROY (J. Louis), critique, né à Rennes en 1743, mort en 1814, fut élevé chez les Jésuites, fut nommé en 1776 professeur de rhétorique au collège de Montaigu, puis au collège Mazarin, à Paris, et travailla, après la mort de Fréron, à la rédaction de l'Année littéraire (1776-92). Proscrit en 1793 pour avoir rédigé l'Ami du Roi, il se fit maître d'école dans un village, et ne revint à Paris qu'après le 18 brumaire (1799). Il entra vers la même époque au Journal des Débats, où il se chargea de la partie littéraire, spécialement de l'analyse des pièces de théâtre